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Parfois, souvent, la vie de professionnelle d’indépendant nous invite à arborer d’autres casquettes pas forcément voulues ; et c’est qu’elle est sacrément bien vissée sur la caboche cette casquette. Elle n’est pas forcément désagréable à revêtir sachant qu’on peut tout à fait la rendre plus ou moins confortable, sur le coup, elle ressemble plus à un couvre-chef d’hiver outrageusement lesté qu’à une élégante et légère Toni caps en lin.
Vous avez compris qu’à force d’avoir les papattes dans une tambouille qui n’est pas son domaine de prédilection, le stakhanoviste qui m’habite à du vague à l’âme, et quand Margaux et Maxime (merci le Cercle) t’invitent dans leurs cours de récréation pour un habile moment de détente à coup d’After Effects sur les concours de Monday Challenge, on ferme sa margoulette et l’on se laisse porter.
Le rappel à l’ordre qui m’est offert est de bon ton, remettre les mains dans le cambouis est primordial, on oublie vite les automatismes royalement acquis. Note pour tout de suite, écouter la nostalgie d’un outil qui prend la rouille.