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Suite à une cocasse mise en relation avec Stéphane – pour ne rien cacher, j’ai chiné le contact de Robinson & CO dans les annuaires blanchâtres de « Stratégies » – et quelques coups de fil plus tard se terminant en conversation presque de comptoir ; me voilà à donner un coup de pied pour façonner la nouvelle maquette de Terre d’horizon, le bimensuel de la Chambre d’agriculture des Alpes-Maritimes, un chatoyant 20 pages qui respire bon les titrailles des ancestraux Paris-Match des belles années.
Il a du sens à mes yeux ce projet, d’une part, s’acharner sur la création d’un magazine à un côté méditatif et de l’autre le sujet qui m’est offert à un profond écho, celui qu’on cherche en lançant inaudiblement, abruti et attiré par la profondeur de champ des montagnes. Oui, il a ce poids-là, le poids d’une création d’entreprise, le quintal de rendre service au méritant. Ce qui me botte, c’est manger (je nuance le propos dans  « Atelier Ripaille ?« ) tout du moins, se délecter, et quoi de mieux que de rendre hommage aux gens qui prennent soin de ma besace de bedaine en cultivant la terre nourricière.